Ecart Design

Ecart Design

En 1978, au 6 rue Pavée à Paris, Andrée Putman donne vie à sa passion pour l’art décoratif en fondant Ecart International. La société voit le jour avec une mission claire : rééditer du mobilier et des objets de créateurs historiques du début du XXᵉ siècle, souvent oubliés. Installée dans un showroom aménagé dans un ancien entrepôt, Ecart International se donne pour vocation une « archéologie de la modernité ».

Dès le départ, Andrée Putman se concentre sur la réédition d’œuvres emblématiques de grands noms du design et des arts décoratifs, dont l’élégance et le style intemporel tranchent avec l’esthétique dominante des années 80, marquée par le groupe Memphis et le minimalisme de Starck. Elle choisit de redonner vie aux créations de Mariano Fortuny, Eileen Gray, Jean-Michel Frank, Robert Mallet-Stevens, Michel Dufet, Pierre Chareau et Jacques-Henri Lartigue, parmi d’autres figures majeures. Grâce à une recherche méticuleuse dans les archives, les revues d’époque et les antiquaires, elle sélectionne meubles, lampes, tapis et objets avec un œil expert, guidée par son sens esthétique et son intuition du beau. Chaque pièce est étudiée dans le détail pour en comprendre les mécanismes et les fonctions, et pour lui redonner vie dans la société contemporaine.

Pionnière dans le domaine de la réédition, Andrée Putman est bientôt rejointe par Colette Bel, qui prend en charge la direction éditoriale et assure le développement de la réédition au sein d’Ecart International. Le succès est au rendez-vous, et Andrée décide alors d'ouvrir son catalogue à de jeunes créateurs contemporains tels que Sacha Ketoff, Olivier Gagnère, Naggar et Lachevsky, Sylvain Dubuisson, et Martin Szekely.

En plus de ces éditions de créateurs, Ecart International développe également ses propres créations. Ce studio interne permet à la société de concevoir certaines pièces originales, enrichissant ainsi son offre et affirmant sa vision d'une modernité intemporelle.

Le nom « Ecart », anagramme de « Trace », invite à un voyage esthétique empreint d’élégance, de qualité et de sobriété.

L’histoire continue de s’écrire aujourd’hui.

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En 1978, au 6 rue Pavée à Paris, Andrée Putman donne vie à sa passion pour l’art décoratif en fondant Ecart International. La société voit le jour avec une mission claire : rééditer du mobilier et des objets de créateurs historiques du début du XXᵉ siècle, souvent oubliés. Installée dans un showroom aménagé dans un ancien entrepôt, Ecart International se donne pour vocation une « archéologie de la modernité ».

Dès le départ, Andrée Putman se concentre sur la réédition d’œuvres emblématiques de grands noms du design et des arts décoratifs, dont l’élégance et le style intemporel tranchent avec l’esthétique dominante des années 80, marquée par le groupe Memphis et le minimalisme de Starck. Elle choisit de redonner vie aux créations de Mariano Fortuny, Eileen Gray, Jean-Michel Frank, Robert Mallet-Stevens, Michel Dufet, Pierre Chareau et Jacques-Henri Lartigue, parmi d’autres figures majeures. Grâce à une recherche méticuleuse dans les archives, les revues d’époque et les antiquaires, elle sélectionne meubles, lampes, tapis et objets avec un œil expert, guidée par son sens esthétique et son intuition du beau. Chaque pièce est étudiée dans le détail pour en comprendre les mécanismes et les fonctions, et pour lui redonner vie dans la société contemporaine.

Pionnière dans le domaine de la réédition, Andrée Putman est bientôt rejointe par Colette Bel, qui prend en charge la direction éditoriale et assure le développement de la réédition au sein d’Ecart International. Le succès est au rendez-vous, et Andrée décide alors d'ouvrir son catalogue à de jeunes créateurs contemporains tels que Sacha Ketoff, Olivier Gagnère, Naggar et Lachevsky, Sylvain Dubuisson, et Martin Szekely.

En plus de ces éditions de créateurs, Ecart International développe également ses propres créations. Ce studio interne permet à la société de concevoir certaines pièces originales, enrichissant ainsi son offre et affirmant sa vision d'une modernité intemporelle.

Le nom « Ecart », anagramme de « Trace », invite à un voyage esthétique empreint d’élégance, de qualité et de sobriété.

L’histoire continue de s’écrire aujourd’hui.